Le gouvernement tente de calmer l'opposition grandissante au fichier policier Edvige. Nicolas Sarkozy a organisé mardi soir une réunion à l'Elysée pour demander à Michèle Alliot-Marie «d'ouvrir rapidement une concertation» qui «sera suivie de décisions pour protéger les libertés». Plus de 130.000 citoyens ont signé la pétition lancée par le collectif "Non à Edvige". Des témoignages très concrets, apportés le 9 septembre par les associations, montrent comment les mineurs, les malades, les militants politiques, syndicalistes ou associatifs seraient "enregistrés" par ce super-fichier aux allures de Big Brother.
mercredi 10 septembre 2008
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